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quitter Paris, mon intention est donc, si elle est encore ma femme de charge au jour de mon décès, qu'elle participe comme les. autres aux récompenses que je laisse à tous mes domestiques, sans restrictions, aux mêmes conditions des0 rentes et pensions viagères.
Fait à Chaillot, le 27 septembre 1782. Signé : D'Esclavelles d'Epinay.
D'après les conversations que j'ai eues avec Mme la vicomtesse de Belzunce, ma fille, je vois que les lots que je lui avais destinés dans mon testament ne lui feraient pas le plaisir que j'avais cru, aussi je les rétracte tous les deux; je passe et je donne celui de toutes mes mousselines brodées à Mme la comtesse Emilie de Belzunce, ma petite-fille, et celui du linge de ménage d'égale valeur que celui destiné à mon fils, celui-là, dis-je, je le donne et lègue au chevalier de Belzunce, mon petit-fils, pour commencer à monter son ménage.
Je Honne et lègue à la femme Versailles, ma femme de basse-cour, la somme de 8oo livres une fois payée, si elle est encore à mon service lors de mon décès. "-
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